Les éleveurs bovins ont finalement suspendu leur mobilisation
Par Anaelle EDOM
19/02/2016 - 17:05
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:24
Guadeloupe
La mobilisation des éleveurs bovins est suspendue au moins jusqu’à la nouvelle rencontre entre les éleveurs et la Direction de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Foret prévue le lundi 22 février 2016.
Les éleveurs bloquaient l'accès hier jeudi 18 février 2016, de la Chambre
d’agriculture située à Baie-Mahault. Car 760 d’entre eux n’ont pas perçus
les "Aides bovine allaitante" pour l’année 2015. Ces dernières peuvent
monter à plusieurs milliers d’euros en fonction des exploitations.
Jeudi, une assemblée exceptionnelle a été organisée dans l’urgence avec les représentants de la Direction de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Foret (DAAF). Les services de l’Etat évoquent une défaillance informatique pour expliquer ce retard de paiement.
Après deux heures de discussion, les éleveurs ont donc décidé de suspendre leur mouvement. Mais, ils restent mécontents à l’issue de cette réunion.
Du côté des services de l’Etat, la raison évoquée pour expliquer ce retard est un problème d’ordre technique. La DAAF prévoit de mettre en place une "cellule individualisée" pour les éleveurs bovins les plus impactés, en collaboration avec la Chambre d’Agriculture.
Jeudi, une assemblée exceptionnelle a été organisée dans l’urgence avec les représentants de la Direction de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Foret (DAAF). Les services de l’Etat évoquent une défaillance informatique pour expliquer ce retard de paiement.
Après deux heures de discussion, les éleveurs ont donc décidé de suspendre leur mouvement. Mais, ils restent mécontents à l’issue de cette réunion.
Du côté des services de l’Etat, la raison évoquée pour expliquer ce retard est un problème d’ordre technique. La DAAF prévoit de mettre en place une "cellule individualisée" pour les éleveurs bovins les plus impactés, en collaboration avec la Chambre d’Agriculture.
√ Rejoignez notre Chaîne Whatsapp, RCI INFOS MARTINIQUE, pour ne rien rater de l’actualité : cliquez ici.