CEREGMIA : l'avocat de Pascal Saffache s'exprime
        
            Par Karl LORAND
                    
                                        
            
14/01/2016 - 19:11
      
 • Mis à jour le     18/06/2019 - 15:26
                    
        
        
        
        
        
                    
            Martinique
      
            
    
        L'avocat de Pascal Saffache, maître Raymond Auteville est sorti du silence ce jeudi matin. Pour rappel à l’issue de sa garde à vue, Pascal Saffache a été mis en examen pour délivrance de faux diplômes, d’utilisation de fonds européens à des fins autres que prévus, pour faux et usage de faux, pour favoritisme et atteinte à la liberté d’accès aux marchés publics.
 
                                    L’ancien président de l’Université des Antilles et de la Guyane - Pascal 
    Saffache - a été placé en garde à vue durant plus de 30 heures dans les 
    locaux du SRPJ pour s’expliquer sur son rôle dans cette affaire de 
    détournement présumés de fonds publics au CEREGMIA. 
    A l’issue de sa garde à vue, Pascal Saffache a été mis en examen pour 
    délivrance de faux diplômes, utilisation de fonds européens à des fins 
    autres que prévus, pour faux et usage de faux, pour favoritisme et 
    atteinte à la liberté d’accès aux marchés publics.
Le juge d’instruction lui a également signifié son placement sous contrôle judiciaire mais sans pour autant lui interdire d’exercer sa fonction d’enseignant.
L'avocat de Pascal Saffache est assez serein. "L'université a vraiment un fonctionnement particulier et je pense que Monsieur Saffache n'aura aucune peine à démontrer que ce n'est pas parce que on dit qu'il y a des infranctions qui auraient été commises au CEREGMIA que le président de l'université est obligatoirement responsable des agissements que d'autres ont eu ! Sil tel est le cas il faudrait dans ce cas demander des comptes à tous les présidents d'universités des Antilles et de la Guyane".
Audrey Ollon et Cédric Catan
      
Le juge d’instruction lui a également signifié son placement sous contrôle judiciaire mais sans pour autant lui interdire d’exercer sa fonction d’enseignant.
L'avocat de Pascal Saffache est assez serein. "L'université a vraiment un fonctionnement particulier et je pense que Monsieur Saffache n'aura aucune peine à démontrer que ce n'est pas parce que on dit qu'il y a des infranctions qui auraient été commises au CEREGMIA que le président de l'université est obligatoirement responsable des agissements que d'autres ont eu ! Sil tel est le cas il faudrait dans ce cas demander des comptes à tous les présidents d'universités des Antilles et de la Guyane".
Audrey Ollon et Cédric Catan
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