Deux antillais jugés pour le meurtre d'un lamentinois
        
            Par Rinsy Xieng
                    
                                        
            
10/10/2015 - 23:16
      
 • Mis à jour le     18/06/2019 - 15:30
                    
        
        
        
        
        
                    
            Guadeloupe
      
            
    
        12 ans de réclusion criminelle, c’est la peine retenue par la cour d’Assises de l’Ain, en Rhône-Alpes, à l’encontre de deux antillais. Ils sont accusés du meurtre de Patrice Samart, originaire du Lamentin en 2011.
                                    Le corps de Patrice Samart, âgé de 30 ans au moment des faits, a été 
    retrouvé par des pêcheurs, flottant sur le lac neyton, le 5 
    octobre 2011. La victime, un rappeur guadeloupéen connu sous le nom de 
    Tiparis Izzah, était porté disparu depuis la nuit du 27 au 28 
    septembre. Tué d’un coup de fusil, son corps a été 
    enroulé dans une bache avant d’être lesté par un parpaing. Patrice 
    Samart, avait un projet d’ouverture de studio d’enregistrement à 
    Villeurbanne, dans la banlieue lyonnaise, avec sa compagne. L’enquête 
    s’oriente donc vers cette dernière Rodéa Tagliamento 
    ainsi que son amant, Sylver Gros-Desormeaux. 
Un guet-apens mortel
Ce dernier est un militaire qui assure avoir été "manipulé". Il a avoué avoir commis l'irréparable pour elle. Le mobile, une dette de 90.000 euros qui vaudra à Patrice Samart d'être attiré dans un guet-apens mortel monté par sa compagne. Devant la cour d’Assises de l’Ain, l'avocat général a requis hier vendredi 12 ans de réclusion criminelle contre l'auteur du meurtre et 15 ans contre "l'instigatrice". Finalement, la cour d'Assises a estimé que la commanditaire du meurtre et son bras armé méritaient la même peine : 12 ans de prison chacun.
      
Un guet-apens mortel
Ce dernier est un militaire qui assure avoir été "manipulé". Il a avoué avoir commis l'irréparable pour elle. Le mobile, une dette de 90.000 euros qui vaudra à Patrice Samart d'être attiré dans un guet-apens mortel monté par sa compagne. Devant la cour d’Assises de l’Ain, l'avocat général a requis hier vendredi 12 ans de réclusion criminelle contre l'auteur du meurtre et 15 ans contre "l'instigatrice". Finalement, la cour d'Assises a estimé que la commanditaire du meurtre et son bras armé méritaient la même peine : 12 ans de prison chacun.
                    
                                      
                    
                    
 
 
 
 
        


