Voeux 2015 : Ministère des Outre-mer et FEDOM sur la même longueur d'ondes
        
            Par Francois THOMAS
                    
                                        
            
29/01/2015 - 09:48
      
 • Mis à jour le     18/06/2019 - 15:40
                    
        
        
        
        
        
                    
            Antilles
      
            
    
        Des voeux, le même jour. A quelques heures d'intervalle, George Pau-Langevin, la ministre des Outre-Mer et Jean-Pierre Philibert, le président de la FEDOM ont eu presque les mêmes mots en souhaitant une bonne année 2015 à leurs invités. A une nuance près, ils considèrent que les les outils pour le développement économique des territoires ultramarins sont sur la table. Il faut maintenant s'en saisir.
                                    Premier à ouvrir le bal des voeux de ce mercredi 28 janvier au restaurant 
    "la Créole" à Montparnasse, dans le 14ème arrondissement de Paris, le 
    président de la FEDOM avait invité la presse ultramarine. L'occasion de 
    délivrer à travers elle un message positif aux acteurs économiques 
    ultramarins et aux élus politiques.
Pour Jean-Pierre Philibert, "une partie de la réponse aux défis économiques est chez nous à condition que le dialogue social n'aille pas vers les situations extrêmes que l'on connaït". Le président de la FEDOM faisait clairement allusion à la poussée de tension des gérants de stations services de l'île de la Réunion mercredi.
Outre le dialogue social, M. Philibert a estimé en substance que les outils n'étaient une fin en soi et qu'il convenait toujours de les améliorer.
      
Pour Jean-Pierre Philibert, "une partie de la réponse aux défis économiques est chez nous à condition que le dialogue social n'aille pas vers les situations extrêmes que l'on connaït". Le président de la FEDOM faisait clairement allusion à la poussée de tension des gérants de stations services de l'île de la Réunion mercredi.
Outre le dialogue social, M. Philibert a estimé en substance que les outils n'étaient une fin en soi et qu'il convenait toujours de les améliorer.
                    
                                      
                    
                    
 
 
 
 
        


