Nouveau texte de la loi El Khomri : "Très clairement il y a un recul qu'on ne peut que constater"
        
            Par Karl LORAND
                    
                                        
            
15/03/2016 - 16:14
      
 • Mis à jour le     18/06/2019 - 15:23
                    
        
        
        
        
        
                    
            Antilles
      
            
    
        Le gouvernement a présenté la nouvelle mouture de la loi El Khomri. Déçu, le patronat a taxé cette dernière de "reculade" de la part du gouvernement.
 
                                    A la demande des syndicats, certaines parties du texte de la loi El 
    Khomhri ont été revues. Après plusieurs jours de tractations, le premier 
    ministre Manuel Valls a présenté aux syndicats les corrections apportées à 
    l’avant projet de réforme du code du travail.
Visiblement les aménagements du projet de loi de travail qui ont été annoncés par Manuel Valls n'ont pas rassuré. "Très clairement il y a un recul qu'on ne peut que constater. Il faut quand même positiver, il y a certains éléments favorables à l'emploi qui sont maintenus, je pense aux accords offensifs, à la prééminence du dialogue social dans l'entreprise, la clarification des conditions de licenciement économique qui a été maintenue à priori... mais c'est vrai qu'il y a un recul sur le fond et je le regrette", a déploré Philippe Jock le président du MEDEF Martinique.
Audrey Ollon
      
Visiblement les aménagements du projet de loi de travail qui ont été annoncés par Manuel Valls n'ont pas rassuré. "Très clairement il y a un recul qu'on ne peut que constater. Il faut quand même positiver, il y a certains éléments favorables à l'emploi qui sont maintenus, je pense aux accords offensifs, à la prééminence du dialogue social dans l'entreprise, la clarification des conditions de licenciement économique qui a été maintenue à priori... mais c'est vrai qu'il y a un recul sur le fond et je le regrette", a déploré Philippe Jock le président du MEDEF Martinique.
Audrey Ollon
 
                    
                                       
                     
                     
 
 
  
 
 
  
        


